Blagues Fumeurs

– Peux-tu me dire en quoi le tabac est nuisible à la santé ?
– Eh bien, personnellement, à cause de lui, j’ai les fesses brûlantes tous les vendredis soirs. – Comment cela ?
– Voilà.
Depuis que la maîtresse a cessé de fumer, ça l’a mise complètement sur les nerfs.
Alors, pour se défouler, elle donne des notes épouvantables à tout le monde.
Et quand je rentre, avec mon livret plein de zéros, à chaque fois, c’est pareil :
mon père me flanque une bonne fessée.

– A la suite de la campagne antitabac que je lance à la télévision, je me dois de donner l’exemple dans ma vie privée.
Désormais, lorsqu’on fera l’amour, on va éteindre nos cigarettes…
au moins quand on s’embrasse.

Au petit matin, un homme allume une cigarette à côté de sa femme qui mange une tartine de nutella. La femme, gênée, lui dit :
– Sur ton paquet de clopes, il est écrit « Nuit gravement à la santé ».
Et l’homme répond :
– Sur ton pot de Nutella, il devrait être inscrit « Nuit gravement à ton cul » !

– Je demande le divorce, dit une dame.
– Pour quel motif ?
– Mon mari n’a pas de plus grande joie que de faire des ronds de fumée, quand il est à la maison avec, toujours, une cigarette au bec.
– Cela ne paraît pas méchant.
– Attendez. Je ne sais pas comment il s’y prend, mais ces anneaux de fumée, il arrive à les diriger de telle sorte qu’ils viennent s’empiler sur mon nez.

– Ça marche, votre dernier produit pour faire perdre aux gens l’envie de fumer ?
demande-t-on au directeur d’un grand laboratoire.
– Très bien.
D’autant que le directeur de notre service commercial a eu une idée de génie.
Avec ce produit, il offre, en prime, un beau briquet.

Suffoquant dans un nuage de fumée, une femme dit à son mari :
– Un jour, tu te décideras peut-être à acheter de bons cigares.
Tu t’en rendras compte quand chacun d’eux te coûtera plus cher que l’allumette qui te sert à l’allumer.

Dans la salle d’attente d’un médecin, deux femmes bavardent.
– Moi, dit la première, je souffre d’un mal de gorge persistant qui m’inquiète.
Il est vrai que j’ai toujours pris plaisir à fumer une cigarette juste après avoir fait l’amour.
– Mon cas est certainement bien pire, dit l’autre.
C’est de ma faute aussi.
Je n’ai jamais pu imaginer de fumer une cigarette sans avoir fait l’amour auparavant.

L’agent de garde au commissariat questionne :
– Qu’est-ce que je dois vous envoyer :
le Samu ou les pompiers ?
– Les deux.
Pour moi, le Samu, parce que j’ai reçu une sévère correction de mon mari qui était à cran depuis quinze jours qu’il avait cessé de fumer.
Là-dessus, pour finir de se défouler, il a allumé une cigarette en jetant nerveusement son allumette à travers la pièce.
Et c’est comme ça qu’il a mis le feu à l’appartement.

– Ce que j’aime, dit un ouvrier agricole, c’est fumer une cigarette, après avoir fait l’amour avec la fille des fermiers.
Je ne peux pas m’en empêcher, tout en sachant bien que c’est dangereux.
– Pour vos poumons ?
– Non.
Pour la grange, où nous nous couchons dans le foin.