Trois petites vieilles se promènent dans un bois qui sent le sexe.
Par terre il y a un gros tas de capotes usagées.
La première se plaint alors :
– Regardez moi ça, ces petits salopards ne respectent plus rien.
La deuxième prend une capote avec sa cane. Elle la brandit en l’air.
– Ils font ça vraiment n’importe comment. De mon temps on avait pas besoin de ces machins-là!
La troisième prend la capote piquée sur la canne de sa copine.
Elle en gobe le contenu en disant :
– Et en plus ils laissent le meilleurs …
Blagues sur les Vieux
Sommeil
Moi je voudrais mourir comme mon grand-père, il est mort pendant son sommeil, il n’a rien senti, ça c’est une belle mort! Je ne voudrais pas surtout pas mourir en paniquant, en gesticulant et en criant comme tous les autres dans sa voiture…
Pendant la guerre de 14 18
Deux vieux papis discutent sur la place du village:
– Eh Raymond tu te souviens pendant la guerre de 14-18…?
– Pour sûr Marcel que je m’en souviens !
– Tu te souviens du bromure qu’ils nous donnaient…?
– Évidemment pourquoi me demandes-tu cela ?
– Et bien je crois que ça commence à faire effet…
L’haricot d’amour
C’est l’histoire d’un vieux couple, qui au lendemain de leur mariage s’étaient entendu qu’à chaque fois que l’un ou l’autre aurait une relation extraconjugale de mettre un haricot dans un pot et qu’à l’anniversaire de la cinquantième année de leur mariage, ils se diraient la vérité.
Ce jour-là arriva, le vieux monsieur se présenta devant sa femme, tout honteux, avec un pot contenant une dizaine de grains de haricot en disant, confus : « pardon mon chou, et toi ? ».
Elle lui répondit : « j’en ai profité pour en faire notre dîner ! » lui dit-elle en lui montrant une marmite pleine de haricot en train de cuire sur le feu.
Le sexe
Ce sont trois petits vieux, qui discutent sur un banc.
– Bin moi, quand j’avais 20 ans, j’arrivais même pas à plier mon sexe.
– Moi, à quarante, j’arrivais à le plier d’un quart
– Et à soixante, je le pliais d’un tiers.
– Et hier, j’ai réussi à le plier d’un demi.
Et en choeur :
– C’est fou la force qu’on prend dans les bras avec l’âge…
Sur la route des vacances
Sur la route des vacances, un couple de personnes âgées s’arrête à une station de services.
Le pompiste arrive et demande:
– Bonjour. Je vous fais le plein?
– Oui allez-y, répond le vieux monsieur
La vieille dame demande alors:
– Qu’est-ce qu’y dit?
– Y DEMANDAIT SI ON VOULAIT FAIRE LE PLEIN, répond le vieux en criant.
Le pompiste demande:
– Alors, vous allez où comme ça?
– On va passer les vacances à Saint Tropez, dans la villa de notre fils, répond le vieux.
La vieille dame demande alors:
– Qu’est-ce qu’y dit?
– Y DEMANDAIT OU ON ALLAIT. JE LUI AI DIT QU’ON ALLAIT À SAINT TROPEZ
Le pompiste:
– Vous avez de la chance. Vous allez avoir du beau temps pour les 15 jours qui viennent
La vieille:
– Qu’est-ce qu’y dit?
– Y DIT QU’Y FERA BEAU LA-BAS
Le pompiste:
– Et où habitez vous quand vous n’êtes pas en vacances?
– On habite Brie-Comte-Robert, répond le vieux
– Ah ouais?! J’ai connu une fille de Brie-Comte-Robert un jour. Elle ne pouvait pas s’arrêter de parler, et en plus elle était nulle au lit. Vraiment, c’était pas une affaire!
La vieille:
– Qu’est-ce qu’y dit?
– Y DIT QU’Y TE CONNAIS BIEN!
Pendant la seconde guerre
C’est pendant la seconde guerre mondiale, à la veille du jour J. Les alliés bombardent une petite ville de Normandie, et les maisons tombent comme des châteaux de cartes. Après le bombardement, on fouille les décombres, à la recherche d’éventuels survivants. On trouve un petit grand-père assis sur les toilettes qui se tord de rire en tenant un petit morceau de bois dans la main. Les secouristes le regardent étonner :
– Et ça vous fait rire tout ce fracas, hein !
Et le pépé :
– Oh, bah pour sûr ! C’est la première fois que quand je tire la chasse, toute la maison vient avec !
Dans une résidence pour personnes âgées
Lucie et Germaine sont deux vieilles qui vivent dans une résidence pour personnes âgées. Elles sont veuves toutes les deux mais Germaine aimerait tellement retrouver l’âme soeur…
Un jour, la rumeur d’un nouvel arrivant de sexe masculin vient à leurs oreilles.
Comme la rumeur dit aussi que le vieux monsieur est encore très bien conservé et qu’il a de bonnes manières, nos deux vieilles sont toutes excitées et décident d’en savoir un peu plus!
Germaine dit:
– Lucie, tu sais combien je suis timide. Tu ne voudrais pas aller discuter un peu avec lui pour connaître ses intentions?
Lucie qui n’a peur de rien est tout à fait d’accord.
Aussi, au repas suivant, elle se place à la table du nouvel arrivant et essaie de lui tirer les vers du nez:
– Alors comme ça, vous êtes nouveau ici? Mon amie Germaine et moi, nous nous demandions pourquoi un homme si bien de sa personne comme vous, et si jeune, venait dans une résidence comme la notre sans compagnie…
L’homme répond:
– C’est que je sors de prison… J’y ai passé 20 ans!
– Non, c’est pas vrai? Vous plaisantez? Et pour quelle raison?
– J’ai tué ma troisième femme. Je l’ai étranglée…
– Et qu’est-il arrivé à votre deuxième femme?
– Je l’ai tuée aussi. Avec mon revolver.
– Heu, et votre première femme alors?
– Elle est tombée par le balcon de l’immeuble où l’on habitait au cours d’une dispute.
Alors Lucie se tourne sur sa chaise, et regardant Germaine à la table d’à côté elle cache sa bouche avec sa main et chuchote très fort
– Tout va bien Germaine, il est veuf!