Un maaskri s’est rendu à Oran pour la première fois, et pendant son séjour il voit tout le monde avec des portables. Dés son retour à Maascar, il va voir ses amis et leurs dit « Ya djedkoum, Wahran gaa rahi m’serklia » ( ie : « la situation est grave à Oran, des flics en civil… il y’en a partout »).